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Coucou !
Sur les bords des sentiers, clignotent les discrètes pulmonaires
Tandis que, çà et là, éclate le jaune des ficaires
Les ellébores tendent leurs doigts de sorcières
A tous ceux dont les regards traînent par terre
Et partout les innombrables pâquerettes
Etalent leurs plus jolies collerettes...
C'est le printemps qui repousse l'hiver
Au-delà de ses mornes frontières.
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Commentaires
BonJour Abelito
Poète marcheur, de tes randonnées, tu en parles avec ton coeur et tu le dis avec des fleurs ...